Un grand pas vers l’égalité homme-femme | Le Devoir
2014/02/03 Leave a comment
Former Supreme Court judge Claire L’Heureux-Dubé supports the Charter, another reflection of how embedded the opposition to any forms of religious expression, given the history of Catholic domination of Quebec and the transformation into a largely secular society in the 60s:
Dénonçant les « diktats de la religion », Mme L’Heureux-Dubé tentera de dissuader les élus d’opposition de se rallier à la position défendue par le Barreau du Québec et la Commission des droits de la personne. À ses yeux, ces deux organismes proposent à l’État de confier un « choix de société » au « gouvernement des tribunaux ». « Le rôle des tribunaux n’est pas de gouverner ni d’entraver les choix démocratiques que se donne une société, mais plutôt de réprimer les abus, s’il y en a, au regard des droits fondamentaux que protègent les chartes », affirme Mme L’Heureux-Dubé qui a siégé au plus haut tribunal du pays de 1987 à 2002.
Un grand pas vers l’égalité homme-femme | Le Devoir.
Somewhat amusing that the leaders of Quebec’s student movement against tuition increases, that led to widespread protest again the Charest government in 2012, now say youth are intimidated by the Charter debate. Come on, this is more of a choice! If I recall the polls correctly, young Quebecers (like all young Canadians) are more relaxed about multiculturalism/interculturalism than older citizens.
«Depuis le début, il y a eu toute une série de sorties publiques, comme celles de Guy Rocher et Jeannette Bertrand. Et ils ont tout à fait le droit. Mais ce sont des gens d’un certain âge qui ont utilisé leur expérience pour donner beaucoup de crédibilité à leurs propos et pour donner l’impression aux jeunes que leur opinion l’était moins», fait remarquer Gabriel Nadeau-Dubois, ex-porte-parole de la CLASSE. «C’est un sophisme d’autorité».
Cet automne, lors de son intervention sur la charte au Mégaphone de l’ONF, au Quartier des spectacles, des baby-boomers lui avaient fait la morale lors de la période de discussion. «Je m’étais fait dire “nous les baby-boomers, on a vécu la Révolution tranquille, on sait de quoi on parle et vous, vous n’êtes pas au courant. Vous devez nous écouter.”», note M. Nadeau-Dubois. «Les jeunes sont intimidés. Personne n’essaie de les faire taire volontairement, mais c’est l’impression que ça donne. Et ce n’est pas très invitant.»
